Surfshark, le VPN qui ne dort jamais
Bon, on ne va pas se mentir : en 2025, la cybersécurité, c’est devenu un sport de combat. Entre les hackers qui bossent la nuit, les gouvernements qui veulent tout voir, et les pubs qui te suivent jusque dans tes rêves, tu as intérêt à être bien équipé. Et là, bim, Surfshark débarque. Le petit VPN qui s’est imposé comme une référence n’est pas en reste du côté des nouveautés cette année.
Surfshark, c’est pas juste un VPN pour mater Netflix US ou contourner les blocages TikTok en Papouasie. Non, non, non. Les mecs innovent à tour de bras, genre laboratoire secret de super-héros. Aujourd’hui, je te cause de deux nouveautés qui font plaisir : un brevet de chiffrement qui fait passer la NSA pour des stagiaires, et un service DNS public qui respecte vraiment ta vie privée (oui, même plus que Cloudflare, c’est dire).
Le brevet de chiffrement qui broie les métadonnées (et les espions avec)
Tu savais que même avec un VPN, il reste parfois des miettes de métadonnées ? On ne voit pas ce que tu fais, mais on sait quand tu le fais, combien de temps tu restes, etc. Un peu comme si tu déjeunais incognito mais que tu laissais des traces de confiture partout.
Surfshark a sorti le Kärcher à métadonnées (source). Leur nouveau brevet de chiffrement de bout en bout, c’est le broyeur ultime : plus de logs, plus de miettes, plus rien. Même si un curieux venait sniffer tes paquets, il tomberait sur du vide intersidéral. Pratique pour mater du contenu chelou bosser sur des docs sensibles sans laisser de traces.
Cerise sur le gâteau, ce système ne te transforme pas en escargot du web. Les algos sont optimisés pour garder la latence au plancher. Résultat : tu peux streamer en 4K, jouer en ligne ou taffer sur du cloud sans que ça rame. Bref, sécurité et vitesse, le combo gagnant.
Surfshark DNS : le DNS public qui ne vend pas tes requêtes
On en parle du DNS ? Ce petit truc qui traduit “korben.info” en une adresse IP compréhensible par les machines. Sauf que la plupart des DNS publics (coucou Google, coucou Cloudflare) gardent tes requêtes bien au chaud, histoire de mieux te cibler ou te surveiller.
Surfshark, eux, ils ont sorti le Surfshark DNS (source). Un DNS public, gratos, qui chiffre et anonymise toutes tes requêtes. DNS-over-HTTPS, DNS-over-TLS, tout le tralala. Même ton FAI n’y pige plus rien. Tu veux éviter les pubs ciblées, les trackers, ou juste surfer tranquille ? C’est cadeau, même pas besoin d’être abonné Surfshark pour en profiter. (Oui, tu peux remercier le boss.)
Franchement, à ma connaissance c’est la première fois qu’un VPN propose un DNS public vraiment orienté vie privée, sans te coller un cookie dans le dos. À tester d’urgence si tu veux voir ce que ça fait de naviguer sans laisse.
Et ce ne sont pas les premières nouveautés de la firme au requin en ce qui concerne la sécurité. Par le passé nous avons déjà eu droit à 2-3 innovations qui ont changé le game.
Nexus : le hub qui centralise tout (et te simplifie la vie)
Bon, ok, ce n’est pas la nouveauté du moment (j’en ai parlé il y a un bout de temps), mais Surfshark Nexus mérite son moment de gloire. Imagine un tableau de bord où tu pilotes tout : gestion des serveurs, analyse des fuites, double saut MultiHop, suppression automatique de tes données via Incogni… Tout est là, accessible en deux clics, même si t’as pas fait Polytech.
Fini les menus planqués et les configs à rallonge. Tu veux bloquer les trackers, checker si tes données ont fuité sur le dark web, ou juste changer de serveur comme tu changes de chaussettes ? Nexus t’offre tout ça, avec une interface qui ferait rougir Apple.
Dynamic MultiHop : le Mario Kart du VPN
Tu connais le MultiHop ? C’est le délire de faire passer ta connexion par deux (ou plus) serveurs dans des pays différents, histoire de brouiller encore plus les pistes. Avant, fallait tout configurer à la main, comme un vieux sysadmin. Maintenant, avec le Dynamic MultiHop, Surfshark choisit pour toi le meilleur itinéraire, en mode GPS de l’anonymat.
Résultat : tu passes d’un pays à l’autre sans ralentir, et même les barbouzes de la NSA abandonnent la filature. Pratique pour les paranoïaques, les journalistes, ou juste ceux qui aiment le challenge. Et non, t’as même pas besoin d’être un geek pour en profiter.
Surfshark, le VPN qui fait le taf (et qui t’en donne plus)
Voilà, on a fait le tour des dernières dingueries de Surfshark. Entre le brevet de chiffrement qui fait disparaître tes traces, le DNS public qui ne vend pas ton âme, Nexus qui centralise tout et le Dynamic MultiHop qui te fait voyager comme James Bond, tu as de quoi dormir sur tes deux oreilles.
Alors, prêt à rejoindre la résistance numérique ? Ou tu préfères rester à poil sur le web, à la merci des trackers et des gouvernements curieux ? À toi de voir. Moi, j’ai choisi mon camp, surtout qu’il propose toujours de protéger un nombre illimité de machines !Le prix pour sécuriser votre foyer et votre famille ? Pas abusif puisqu’il fait toujours partie des meilleurs en ce qui concerne le rapport qualité/prix. À l’heure de ces lignes vous pouvez l’obtenir à moins de 71€ pour 27 mois (dont 3 offerts), soit environ 2.6€/mois TTC.
[Astuce du chef] : Si tu as un vieux Raspberry Pi qui traîne, installe Surfshark dessus et transforme-le en routeur VPN pour toute la maison. Effet “forteresse numérique” garanti. Allez, sur ce, je retourne mater des vidéos de chats sur un serveur islandais. Peace.